Redemption City
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 Faust Øyvind, Anesthesia... [ADMIN]

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2 participants
AuteurMessage
Faust Øyvind
Admin
Faust Øyvind


Messages : 69
Date d'inscription : 02/12/2008

Faust Øyvind, Anesthesia... [ADMIN] Empty
MessageSujet: Faust Øyvind, Anesthesia... [ADMIN]   Faust Øyvind, Anesthesia... [ADMIN] Icon_minitimeLun 22 Déc - 23:55

~-> Votre Personnage: <-~

Nom: Øyvind
Prénom: Faust
Surnom (Facultatif): Anesthesia
Age: 24 ans
Date de Naissance et Lieu: Le 9 Février, Oslo
Pays d'enfance: Norvège
Origines familiale: Norvégienne
Groupe: Psychopathes

~-> Préférences: <-~

Tic: Toujours à bouger ses bagues avec ses autres doigts.

Marque de meurtre : Laisser une trace de dents sur le cou de la victime... Comme un baiser de Vampire.

Préférence de Meurtre: Faire du corps une œuvre d'art sanglante... Torture en tout genre pour changer complètement le corps.

Lieux les plus fréquentés: La morgue.
Préférences en général: Aller dans les endroits sombres, discuter avec d'autres mais uniquement ceux qui ont les mêmes envies et but que lui. Rester dans le silence et opérer de manière à ce qu'on ne puisse pas le voir.

~-> Caractère Physique: <-~

Grand, dans les 1m84, assez carré des épaules et mince de taille. Les yeux bleus clairs et un visage enfoncé. Allure sportive, mais portant principalement des habits noirs et sombres. Type metalleux et gothique quand il se fout du monde qui l'entoure, mais porte des vêtements assez sobres mais soft quand il se pointe à la orgue ou quand il ne veut pas se faire remarquer du monde qui l'entoure, vous comprendrez bien pourquoi.
Les cheveux long, détachés ou bien tirés en arrière quand il bosse. Un manteau noir assez large pour contenir ses outils. Lorsqu'il va au travail, il à une mallette noire avec lui contenant tous ses outils. Sinon, un sac en bandoulière, mais sa mallette est dedans. Juste pur qu'on ne la remarque pas. Deux choses qui ne changent pas: Ses bottes montantes en cuir noir, renforcées et coquées, mais aussi son bracelet de force, poignet gauche. Bien qu'il porte que le week-end ou lors de ses sorties des t shirt à manches courtes. Sinon, c'est le t shirt banal noir ou la chemise noire.

~-> Caractère Moral: <-~

Assez simple quand on le regarde, mais aussi très compliqué. S'énerve assez rapidement et à un sale caractère qui fais sa force. A cause de cela, il ne la maîtrise pas. Il n'aime pas avoir quelque chose en travers de son chemin. Gros fumeur, destress total. il sait parler aux gens, avoir le sourire, mais il sait aussi bien prendre le visage fou et sombre. Soit c'est le sourire sympathique qui l'habite, soit c'est le sourire de la folie. Un des deux, au choix. Enfin, c'est lui qui choisit. Parfaitement conscient de lui même. Il à juste changé et à cet instinct du délire schizophrénique qui sommeille en lui. Amateur d'art, il aime ses propres "œuvres" humaines.
Adore apprendre de nouvelles choses, surtout quand elles améliorent sa technique dans son travail, comme dans sa passion: La torture...

~-> Histoire: <-~

Le 9 Février... Hôpital municipal d'Oslo, Norvège. Jour de souffrance pour ma mère, pas des moindre. Peut être un moment qui n'aurait jamais du arriver.

Je fais partie de la catégorie rare que l'on appelle les Surdoués. Malheureusement pour le monde, heureusement pour moi. Mais chaque être vivant sur terre à un défaut. Moi, c'était celui de l'ouvrir un peu trop quand il en le fallait pas. Toujours présent quand quelque chose n'allait pas dans une catégorie que j'aimai. Passionné de médecine, j'ai engagé des études de science vers mes 12 ans alors que j'avais à coté de moi, des élèves de 20 ans.

Manipulation chimiques, anatomie, parcours personnalisé entièrement. Diplôme d'état Vers mes 20 ans, j'ai acquis un niveau d'un adulte de 26 ans. 18 ans et déjà dans une morgue. Analyse sanguine, traitement des maladies, dès qu'on manquais de moyens, l'état m'entendais pousser ma crise. Toujours à criser dès que je n'avais pas satisfaction. Mais en Norvège, les temps étaient faciles. Meurtres rares, j'étais généralement habitué à manipuler les maladies comme le SIDA. trouver un remède. Le rapport que j'ai fais sur celui ci n'a pas plu au gouvernement quand je leur ai dis qu'on manquais trop de moyens pour pouvoir analyser quoi que se soit. J'y mettais même de mon propre argent. Heureusement que dans ce pays, les payes étaient plutôt fortes.

21 ans. Je me tourne vers la France. Là bas, plus d'action déjà. Plus de choses à découvrir. Plus de meurtres et de maladies. Je m'engage dans la découverte et l'inconnu. recommandé par mon gouvernement, la France m'accueille sans problèmes. Mais on ne m'avais pas tout dis. Et c'est là que j'ai remarqué que l'ouvrir quand il ne le fallait pas allait me jouer de mauvais tours.

Manque de moyens, manque d'aides et surcharge. Mauvaises payes, je voulais retrouver la Norvège. Mais le gouvernement m'avais jeté, et la France me gardait prisonnier. Je commençais à trop l'ouvrir et à me faire entendre. Je commençais à devenir dérangeant. Trop proche du peuple. Les primes n'empêchaient pas ma grande gueule de s'ouvrir quand il le fallait... Ou pas.

Je l'ouvrais pour dénoncer mon pays d'origine qui m'avais jeté sans rien me dire, mais je l'ouvris aussi contre la France qui me rendait la vie dure et surchargée. Appelé sur tout les front, maladies graves, mort étrange... Partout dans la capitale. En un an, je n'avais pas eu de vie sociale. Je ne connaissait que mes collègues, avec qui j'avais une réputation forte, mais souriante. Sociable et convivial.

Banale biographie jusqu'à ce moment non? Plus à partir de maintenant...

Car je me fais embarquer le jour où j'ai publié un article dans un journal indépendant pour dénoncer l'état. Embarqué sur mon lieu de travail, mes collègues qui m'avaient pourtant prévenus. Leurs seules paroles à se moment là étaient qu'ils m'attendraient jusqu'à mon retour. Celui qui avait essayé de faire bouger les choses sans résultats. Celui qui les avait aidé, donné des solutions contre des maladies graves et tout fais pour diminuer le nombre de mort dans la morgue Parisienne.

Emmené à la Circonférence, hôpital psychiatrique réputé pour son secret, ses expériences inconnues sur sujets vivants et sa taille immense. Coincé au milieu des montagnes Alpines, dans le cœur des chaines et sur les flans neigeux. Enfermé dans une cellule, une clope par jour alors que j'en fumais un paquet au moins. Voir ces hommes et ces femmes se tailler les veines avec leurs dents pour compenser leur manque de drogue, les voir devenir de plus en plus dingues... Je résistait tant bien que mal. Mais je trouvais ma solution pour me calmer.

M'énerver toujours pour avoir ma piqure de morphine. Rester conscient plus ou moins, mais savoir encore qui j'étais. Ne pas devenir comme le monde qui m'entourait à ce moment là. J'avais 22 ans.

2 ans en enfer avant d'avoir la nouvelle. Cet homme qui m'avait parlé. Ce gardien qui 'mavait dévoilé ses plans. Le seul encore conscient à ma connaissance dans ces ieux. Je n'avais pas fais attention aux autres.

-Tu n'es pas seul...
-Ah oui? Prouve le moi.
-Tien, ta dose. Et quelques fioles de poison.
-Lesquels?
-Composant opiacés, mélangés à l'éther non dilué. Ça tue en s'endormant rapidement...
-Pas mal... Et j'en fais quoi? J'ai pas envie de crever ici moi.
-Non, mais les autres gardiens oui. Demain...
-Demain? Demain quoi! QUOI!

Demain quoi? Libération. Ce type était un vrai dingue. Il avais ouvert des portes. il s'était échappé et il s'était libéré de ces prisons infernales et invivables. Il en avait libéré quelques uns. Grâce à ses piqures, j'avais tués des gardiens. I m'avais accueilli dehors, en toute sécurité. tenue orange et pied nu dans la neige. Le froid, la sensation de la Norvège, de mon pays. Mais aussi la sensation de la haine, de l'abandon. Sensation que je n'étais pas prêt d'oublier...

-Et maintenant?
-Tiens moi au courant.
-Je fais quoi?
-On t'attend sur Paris je crois non? Moi on m'attend dans d'autres prisons et hosto psycho...
-... Je suis le seul à être en relation avec toi?
-Pour l'instant oui, mais quand tu en rencontrera d'autres, tu ne le seras plus!

Alors? Paris. Retour. Mais je devais me cacher. Et aussi me venger. Contre ce pays qui m'avais enfermé dans cet enfer. Me venger de la meilleure manière qu'il soit. D'abord revenir à la morgue et y vivre un peu. Mes collègues? Enchantés de mon retour, mais bien sur, je n'existais pas. J'étais un nouveau bonhomme. Masqué. J'y allais masqué. Inconnu et personne ne me reconnu. Renouveau. J'avais mes cheveux qui avaient poussés. Ma mine renforcée par la morphine. Même le masque, je m'en passais de temps en temps. Jusqu'à ce que mon visage change complètement.

Depuis ce retour, je pique. J'invente des maladies incurables pour faire souffrir un maximum et je pique dans le métro, les avenues, là où le monde afflue et où personne ne me remarque. Et quand j'en capture, je les torture pour en faire des œuvres d'art. Les plus belles se font surtout quand la personne m'a bien énervée avant... . Les voir et les entendre souffrir, faire ce baiser. Ce sang qui m'avais permis de vivre dans cette prison de fous. Mais j'en voulais du neuf. Je me balade jamais sans mes outils d'autopsie et mes seringues sont dans mon manteau. Toujours. J'ai transformé mon appartement en laboratoire clandestin pour éviter de me faire démasquer.

Comment je pique? Seringue dans la main droite, l'aiguille qui ressort du manteau sur la gauche, et quand je bouscule, en une fraction de seconde et voilà la personne contaminée par un maladie que même moi je ne sais pas des fois soigner. Piqure à fleur de peau, légère, une petite sensation de gratouillement dans une partie du corps quelconque, et le tour est joué. Jouer, encore jouer avec les autres. Les attirer et les torturer. Faire des sourire et s'excuser quand on viens de faire l'incurable... La vengeance. Certains regretterons.

Anesthesia... De la part de mes collègues de travail.

J'accueille et rencontre quiconque veut me rencontrer. Aussi fou que moi bien sur, moins aussi. Je suis un des premier à être arrivé sur Paris, et j'en attend d'autres avec impatience. Partager ma passion, ne plus me sentir seul... Toujours rôder dans les lieux sombres pour appliquer ma passion, ou alors dans les endroit blindés de monde pour appliquer on passe temps.

Mais attention, car si un jour vous avez la sensation d'une piqure à fleur de peau, c'est pas bon signe... Surtout si vous avez un jeune de 24 ans dans les parages...

~-> Et Toi Donc? <-~

Prénom: Gizmo, ça suffira =)
Boy or Girl? Il me semble... Mhhhh... Boy =3
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Code Règlement: Validé par Faust Øyvind
Avatar choisi: Moi même ^^
Rp type... : Plutôt pas mal hein? =3
Comment ce Lien a atterris sous votre clic? Heuuuu... J'en sais rien.. Ah si, peut être parce que c'est moi qui l'ai créé? xD
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Yuichi Ueda

Yuichi Ueda


Messages : 135
Date d'inscription : 20/12/2008

Faust Øyvind, Anesthesia... [ADMIN] Empty
MessageSujet: Re: Faust Øyvind, Anesthesia... [ADMIN]   Faust Øyvind, Anesthesia... [ADMIN] Icon_minitimeMer 24 Déc - 22:00

Souhaiter bienvenue, c'est peut être pas le mieux, mais Welc' chez toi XD

comment que t'as bien mis mes entrepots +OUT+ XD
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Faust Øyvind, Anesthesia... [ADMIN]
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