Yuichi Ueda - Admin

Messages : 135 Date d'inscription : 20/12/2008

~-> Votre Personnage: <-~

Nom: Ueda
Prénom: Yuichi
Surnom (Facultatif): Yu, Yui
Age: 20
Date de Naissance et Lieu: Kanagawa (Japon) 23 août
Pays d'enfance: Japon
Origines familiale: Japonaises
Groupe: autres

~-> Préférences: <-~

Tic: regarder derrière lui à chaque fois qu’il part de quelque part. enfoncer ses ongles dans sa peau quand il souffre ou que ça ne vas vraiment pas.

De quel coté (Uniquement pour les Habitants): Yuichi est un jeune homme calme et réservé, il n’aime pas vraiment se mêler aux conflits, mais s’il doit choisir un camps, ça ne sera sûrement pas celui des flics.

Comment j'agis (Uniquement pour les habitants): Par exemple, Je vais voir les autres, j'en accueil, j'informe et je tuyaute... Etc Je me tais, j’avance, je la ferme. Je te crève. Je saigne. Je ne leurs dirais rien. Ne cherche pas a comprendre…

Lieux les plus fréquentés:

Les lieux les plus sombres de ce temps serons les tient si tu me laisse approcher…
Rues mal éclairées, usines délabrées, coins mal famés. Là où l’alcool, la drogue, le sang et les femmes se trouvent le plus aisément.

Préférences en général:

~-> Caractère Physique: <-~

Yuichi est un jeune homme de taille normal, il se fonderais bien dans la foule, mais son style pourrais le lui interdire s’il n’en changeait pas pour disparaissait une fois de temps en temps. Un bandeau sur le visage, des cheveux clairs et en bataille- colorés avec leur couleur original qui pointe en dessous- malgré le fait qu’il soit asiatique, japonais pour être exact, il est donc un peut petit pour la norme européenne tendis que pour un nippon, sa taille est normale - je sais, je l’ai déjà dit.-. Toujours habillé dans un style à lui, la plupart du temps foncé, classe, ou juste loin de ce que l’on a l’habitude au japon, le jeune homme a l’habitude de se démarquer. Le problème est que vu ses activités récurrentes, il a souvent besoin de disparaître vite, le garçon est donc capable de filler à une vitesse hallucinante. Faut pas croire, c’est pratique les muscles dans la vie de tous les jours *sort* .Pourtant, il est fin et sa force ne se vois pas au premier abord. Pas avant d’y avoir goûter en fait. Ce dois venir soit de ses origines, soit de ce qu’il prend chaque jours comme un abrutit. Ou bien, des deux. Enfin, ce nippon a une peau tout particulièrement pâle.

~-> Caractère Moral: <-~

Yuichi est un jeune homme discret et peut bavard, contrairement à ce que l’on aurais put croire. Il est bizarre, tout le monde s’accorde le dire, mais c’est qu’il ne seras jamais comme on aurais voulu qu’il soit. Il fait rarement confiance aux autres et est toujours très distant. Ne pas s’attacher. Ne surtout pas s’attacher. Ainsi le garçon reste souvent dans son coin. Attentif aux autres, on pourrait le croire parano. Mais il ne sais plus trop comment s’en sortir et, en fait, il ne fait qu’essayer de protéger le seul vestige d’une vie qui aurais pu être belle. Si seulement… si seulement…

Pas vraiment violent, il aime cependant se battre. Juste pour échapper un peut à ce monde dans lequel il a atterris. Mais ne pas crever. Ne surtout pas lâcher l’affaire. Quelqu’un à besoin de lui. Une promesse a été brisée, il ne laissera pas celle là partir aux oubliettes. En réalité, Yuichi est un jeune homme très attachant. Attentionné et calme, il ne laisserais personne s’approcher de ceux qu’il aime, bien qu’il ne s’en crois pas capable. Près à tout sacrifier pour ça, il fait toujours passer son cas après celui des autres. Même si les autres, pour l’instant, se réduit à un petit garçon haut comme trois pommes.

Insolent et provocateur, il n’as pas vraiment changer et semble toujours être l’ado plein de rage face à toutes ces merdes qui lui tombaient dessus. Et pourtant, ça n’était rien, il le sait à présent. Mais c’est trop tard, bien trop tard. Alors Ce jeune nippon est réellement mature pour son age, même s’il ne le laisse pas forcément voir.

[autant ne pas couper l'histoire XD]

Messages : 135 Date d'inscription : 20/12/2008

~-> Histoire: <-~

« Mais merde, pourquoi j’ai fait ça ? Tu peux me le dire toi ? Aide moi Yuichi. J’t’en pris, promet moi de ne pas m’abandonner… »

Son regard. Le jeune homme le oyait toujours. Et pourtant, ça faisait tellement longtemps. Non, ça n’était pas si loin en fait. Mais ça lui semblait une éternité. Cette promesse. Cette putain de promesse. Il la lui avait faite à cet instant. Quelques mois, un dizaine. Ça c’est rien pourtant sur une vie mais ça semblais si loin. Peut être était-ce parce que tant de choses s’étaient passer depuis ce temps. Trop. Bien trop. Sinon il n’en serait pas là. À essayer d’entrer dans ce bateau. Où il allais ? Ça, il s’en foutait?. Tout ce qu’il voulait, c’était s’éloigner d’ici. Aller n’importe où, mais loin de ces merdes. Loin de ce danger. Tout abandonner, laisser tout ce qu’il avait pu aimer là bas, et partir. Avec ce petit bout. Loin du corps de sa mère.

Ce qu’il s’était passer ? Il n’avait pas vraiment envie de se remettre tout ça en mémoire, mais les images l’assiégeaient, ne le laissant pas seul, elles restaient toujours là, encrées dans son esprit, sans jamais le laisser tranquille. Juste une bouffée d’air qui s’éloignait de lui.

Asphyxie.

Yuichi était juste l’un de ces ados n’en pouvant plus de leur vie. Ses parents toujours partis, une vie dirigée par les notes et le lycée, il ne pouvait pas supporter tout ça. Alors il avait fait comme toute cette bande. Il était rester le soir, négligeant de rentrer tôt ou de sauver les apparences. Traînant dans les rues, forçant le respect jusqu’à ses dernières limites, le jeune homme ne s’était pas épargner. Proche de quelques uns de ce groupe, il finissait par ne plus rentrer, revenir au lycée complètement déchiré et ses parents finirent par trouver quelques photos de lui et ses amis dans des boites, des rues sordides, des karaokés, des hôtels… rien de ce qui pouvait être respectable pour eux. Alors tout était aller de travers. Par sa faute. Les engueulades à la maison, entre ses parents. Son père se tapant quelques jeunes à la sortis d’un métro. Le regard de son fils à la sortie de l’hôtel. Il avait compris, bien sûr. Alors les gens dans la rue s’étaient éloignés, effrayer par les hurlements du père comme du fils. Un coup, puis un autre. La rage dans la gorge du jeune homme, il les lui avait rendus. Alors, le père du jeune homme n’avait pas supporter la pression sur ses épaules, et cet enfant qui reniait brutalement toute autorité. Alors, le garçon avait subis les coups sans rien dire. Sans les rendre. Parce qu’il ne voulait pas faire comme son père, il ne voulait pas être comme lui et avait garder son sang froid. Brutalement. Esprit de contradiction, sûrement. Ce ne fut que son père partis qu’il laissa éclater sa haine. Les deux poings en sang, le mur de brique couvert de celui ci, il s’était laisser tomber au sol, sans plus aucune force pour luter. Sans une rue sombre, c’était les mâchoires serrées qu’il avait attendu que les larme disparaisse de ses yeux.

Il n’était pas rentré ce soir là. Et le lendemain, en cour, il n’avait passer qu’une heure en classe. Si on l’avait chercher, on l’aurais vu avec deux amies et un inconnu. Une seringue à la main et les pupilles dilatées.

Alors ses notes avaient atteint le plus bas dont elles étaient capables. Il ne revint à la maison qu’une fois ses blessures devenues invisible. Tout ça pour voir les larmes de sa mère; et le poing de son père. Encore. Dédain. Il était partis. Ne plus revenir, voilà ce qu’il s’était dit sur le coup. Comme tout les gamins sans expérience qui se disent que tout est mieux tant qu’il n’y a pas les parents. Voilà comment il était passé du style chemise et jean, l’uniforme de l’école mis qu’à moitié et mal assemblé à celui qu’il traîne à présent. Bandeau sur le visage, maquillage noir. Yeux sombres et esprit glauque.

Ravale tes larme, laisse sortir la haine.

Il avait trouvé refuge chez la jeune Miyuki. Ça faisait déjà un moment qu’ils passaient leur temps ensemble. Ils s’entendaient bien et riaient ensemble quelque soit leur humeur, comme si ça avait été une évidence. Toujours fourrés l’un avec l’autre, il escaladait à présent la façade de chez la jeune femme pour entrer chez elle le soir. Et avoir un toit au dessus de la tête. Les parents de la jeune femme n’étaient pas au courant. En tout, il n’y avait qu’un ami commun qui savait où le jeune homme dormais le soir. Tout contre elle toute la nuit. Pourtant il ne se passa jamais rien entre eux. Ça aurait été une absurdité, contrairement à ce que croyait tout le monde. Pourquoi exactement, ils n’en savaient rien, mais aucuns d’eux n’essaya jamais.

De plus en plus habitué à la rue, le jeune homme changea. Se battant plus souvent, se droguant tous les jours, ne revenant pas toujours si tôt chez la jeune Miyuki, elle crus qu’il s’éloignait. Et puis, ce fut elle qui tomba dans toutes ces merdes là. Il fallais gagner de l’argent de toute manière, et Yuichi avait fini par comprendre le truc. Cet inconnu dans la ruelle, ils s’étaient finalement liés. Dealer. Combien de semaines il avait passer, le soir, la journée, l’après midi, plutôt que d’aller en cour, à faire passer de mains en mains, poudre, seringues, flacons, sachets, argent ? Un bon nombre, c’était certain. Bien sûr, il retournait une ou deux fois en cours, pour voir ceux qui comptaient pour lui. Un le suivis dans sa merde. Il n’aurais pas voulu que ça se passe comme ça, mais la dernière fois qu’il le vit, on le transférait l’hôpital. Overdose. Sa faute. Alors les doses redoublèrent pour lui. Échapper la réalité. Il le fallais, sinon il ne survivrait pas. Depuis, trois amis s’éloignèrent. Mais quelque chose en lui attirait dorénavant. Trois filles de la classe se succédèrent dans son lit avant qu’il ne se décida à ouvrir les yeux. Il avait changer, c’était clair, et pas forcément en bien. Il se foutait de tout, ne faisait pas attention à ce qu’il faisait, jouait avec sa vie, et surtout avec celle des autres. Un type était mort, et une fille pensait qu’ils feraient leur vie ensemble. Pourtant, il ne lui avait jamais dit ça, mais, justement, il ne lui avait jamais rien dit. Pas très loquace, ses sourires avaient disparus. Et Miyuki ne le voyait pas. Elle aussi avait changer, par sa faute. Fatiguée, elle traînait en ce moment dans les ruelles glauques de Tokyo. C’était sa faute tout ça. Toutes ces merdes.

Mais quand il l’avait retrouver. La jeune femme était en larmes. Il s’était passer quelque chose qu’elle ne lui aura jamais dit. Malgré tout ce que le jeune homme lui répéta pour qu’elle parle, la jeune femme resta muette, pleurant doucement contre lui. Quelques temps plus tard, elle l’avait obligé à venir avec lui. De la protection, c’était tout ce qu’elle voulait. Leurs mains tremblaient à tous les deux. Le jeune homme n’était pas sortis ce jour là. Il était retourné au bahut, mais s’était fait renvoyer sur le champ. Tendis qu’ils appelaient ses parents, ils parlaient de l’envoyer chez la psychologue de l’école. Mais lorsque le téléphone raccrocha, le jeune homme s’était enfuit. Pour retrouver Miyuki, justement.

Extasie.

Le lendemain, les deux jeunes gens s’étaient réveillés l’un contre l’autre. Comme avant. Les affaires en moins et l’hôtel en plus. Et la jeune femme était restée contre lui un long moment, sereine, elle ne voulait pas bouger, et le jeune homme ne l’en aurait pas déloger. Ça faisait un moment que tout deux étaient seul. Pas physiquement, mais moralement. Perdus, ils avaient passer la matinée serrés l’un contre l’autre. Jusqu’à ce qu’ils jugent que se barrer en douce serait une bonne idée étant donné l’état de leurs finance.

Le pire, c’était qu’ils ne s’étaient même pas fait attraper. Et que leurs relations ne changèrent pas. Ils étaient juste un peut plus proches qu’auparavant. Mais, mis à part ça, rien ne changea.

Mais alors que le jeune homme semblait calmer les merdes dans lesquelles il s’était fourré, un nouvel événement ébranla sa vie. Une émeute. Un drogué l’avait déclencher. Tout était aller très vite. La police était intervenu, le trafic démantelé, des coups de feux étaient partis de toutes parts. Un mort juste devant le jeune nippon. Un cris resté dans sa gorge. Et puis ses jambes l’avaient emmener loin avant qu’il ne comprenne totalement ce qui venait de se passer. Mais on ne lui laissa pas le temps de reprendre ses esprits. Deux bras musclés l’entourant. Un coup à la base du crane. Quelques étoiles dansant devant ses yeux, c’était tout ce dont il se souvenait de cet instant.

L’image d’après représentait un homme, souriant. Ce sourire si mauvais, il l’aurait en tête à vis, c’était certain. Et puis, il y avait la femme derrière lui. Cette femme qu’il connaissait si bien et qui pleurait, sans bruits, attachée. Les cuisses écartées de force par un autre type. Ce que le premier avant dit au jeune homme, il ne l’avait pas entendu. Yuichi, un flingue braqué sur sa tempe n’avait rien put faire. Et avait assister à la scène, impuissant. Jusqu’à l’instant où un autre type avait débarquer. À cet instant, il avait réussit à se dégager, un peut. Juste un peut, au fur et à mesure que la scène se déroulait. Et il avait frapper, espérant se libérer avant que le type n’ai eut le temps de tirer.

Il eut le temps.

Le jeune homme perdit connaissance sur ces images.

Il tomba alors dans le coma. Lorsqu’il repris connaissance, on lui raconta qu’il était ainsi depuis une dizaine de mois. Les mots de la jeune femme raisonnaient dans son esprit. Lorsque qu’elle les lui avait dit, il n’y avait pas fait tant attention que ça. C’était la veuille de tout ce bordel. Et il n’avait pas eut le temps d’y penser depuis. Alors toutes les images lui revinrent en mémoire d’un bloc, le lendemain de son réveil. On lui raconta alors qu’une jeune femme était venue tous les jours durant neuf mois. Et puis elle avait disparu, du jour au lendemain. Neuf mois. Il n’avait pas fallu au jeune homme longtemps pour faire l’association. À l’heure d’après, il avait disparu. Soit un mois avant sa sortie officiellement prévue après son réveil. Sa mère était elle aussi passé, et, vrai dire, elle venait le voir quand il fut dehors. Ayant trouver de quoi se changer, il ne faisait pas attention à là ou il mettait les pieds malgré sa démarche mal assurée. Des vertiges. Il tomba dans les bras de sa mère sans totalement comprendre ce qu’il se passait. Pourtant, elle accepta de ne pas le ramener à l’hôpital. Pourquoi ? Cela venait d’une raison familiale, son père était mort dans un hôpital, voulant en sortir, il assurait qu’on ne lui donnait pas les soins nécessaire, et il mourut dans le mois, atteint d’une maladie virale qui se baladais là.

Pris de fièvre, Yuichi mit pourtant une semaine avant de retrouver l’esprit clair. À cet instant, il ne voulu même pas savoir ce que sa mère avait à lui dire. Ses excuse, ce qu’il s’était passer en son absence et pendant la période de sa convalescence. Il ne voulait rien savoir. Juste ce qu’il était arriver à son amie. Le reste, il s’en foutait. Il ne sut donc pas que son père avait quitter la maison pour fonder une nouvelle famille plus loin. Il n’appris pas qu’une demi petite sœur était en route. Il n’appris rien de tout ça. En revanche, ce qu’il sût, c’était que Miyuki Kuzano avait accoucher dans un hôpital d’une ville frontalière un mois plus tôt. Déni de grossesse. C’était tout ce qu‘avait voulu dire le médecin en le voyant. Secret de profession, sûrement. De toute manière, elle n’était plus dans l’hôpital, c’était tout ce qui importait.
Pas de trace, ni au lycée où elle était toujours inscris, ni dans les endroits qu’elle avait habitude de fréquenter, ni chez elle… et ni à la morgue ou au cimetière.

Le cœur serré, le jeune homme s’était laisser aller durant un an. Son corps réclamant pourtant des forces, il avait tout négligé et avait repris ses anciennes habitudes. Chose stupide étant donné qu’il était enfin débarrasser de sa dépendance. Mais ça, il n’y avait pas vraiment penser.

Finalement, tout c’était arranger quand une fille de sa classe s’était mis à lui rendre des visites régulières. Rika. Il ne l’avait jamais vraiment remarquer. Lui avait parler une ou deux fois s’il se souvenait bien. Et pourtant, elle passait tous les jours pour savoir s’il allait mieux, et, rapidement, elle se mis à l’épauler, à l’empêcher de sombrer totalement. Et elle avait réussit, contrairement aux probabilités qu’il se remette de tout ça, elle avait sût lui faire retrouver un semblant de sourire. Un mois et elle l’avait fait sortir de ses merdes. Bon, il n’arrêtait pas, elle savait qu’il ne le pourrait pas. Mais il se calmait et mangeait de nouveau. L’emmenant faire du sport et évacuer grâce à ça, elle avait fini par s’y mettre elle aussi. Deux mois pour qu’il retrouve un peut la forme. Un mois de plus pour retrouver ses anciens réflexes et son ancienne force. Un autre mois pour comprendre à quel point il avait pu être con tout ce temps. S’excuser. Exister.

L’embrasser.

Comment il avait fait pour ne jamais la remarquer au juste ? Adorable, mignonne, craquante, intelligente, courageuse et terriblement belle. Bien sûr, il n’avait pas oublier ce qui lui occupait l’esprit dès son réveil. Mais elle lui avait fait comprendre qu’il fallais qu’il se ménage. Et c’était ce qu’il faisait avec elle. Et puis, elle avait fait ce qu’il n’attendait réellement pas. Elle avait prouver à quel point elle tenait à lui en retrouvant celle qu’il cherchait depuis des mois sans poser de question. Et lui avait donner une date, et un rendez vous. C’est en voyant entrer Miyuki qu’il avait compris. La jeune femme avait apparemment suivis les derniers temps du jeune homme. C’était Rika qui lui avait tout expliquer apparemment.

Messages : 135 Date d'inscription : 20/12/2008

[bon, ok, elle a quand même été coupée en deux l'histoire XD]

Le teint terne et blafard, les yeux reflétant une tristesse d’une telle profondeur que le jeune homme se serait bien de nouveau perdu en elle, la jeune femme paraissait dans un état pitoyable. C’était pour ça qu’elle avait toujours fuis en le voyant arriver. Pourtant, elle aurais tout donner pour qu’il soit là et qu’il l’aide. Mais ce ne pouvait pas être le cas. Yuichi ne compris jamais totalement pourquoi. Ce qu’il avait parfaitement compris en revanche, c’était l’enfant que la jeune femme portait dans ses bras. Elle l’avait garder. Comment, pourquoi, il ne comprenait pas. Les yeux cernés de larmes, elle lui avait juste dit :

« ça n’est pas grave. Mais, s’il-te plais. Occupe-t’en. »

Alors elle lui avait donner l’enfant. Petit bout dont l’age approchait les 2ans qui dormait sagement. Ensuite, la jeune femme avait déposer un baisé sur la joue de son ami, et était partie en courant. Le jeune homme n’avait rien sût dire, tellement sa gorge était nouée. Il aurait dût lui courir après, bien sûr.

Mais il ne l’avait pas fait. Pourquoi il ne l’avait pas fait merde ?

Merde…

Car lorsqu’il était sortis, un corps était tomber sur le sol, près de lui. Les yeux écarquillés d’horreur, il avait juste vu le crane fracassé de la jeune femme avant de s’écrouler au sol, cachant le visage de l’enfant contre lui. La gorge nouée au possible, il n’était passer entre ses lèvres qu’un hurlement rauque. Et de ses paupières n’étaient couler qu’une larme. Douce, muette et désespérée.

Sa faute…

Les quelques mois qui avaient suivis, le jeune homme ne les avaient pas compris. Sa mère s’occupait de l’enfant qui était en bonne santé contrairement à ce que l’on aurais crus. Sa mère l’aimait. Ça se voyait dans les yeux de ce petit ange. Cet ange que le garçon n’arrivait pas a haïr, quoi qu’il fasse. Désespoir.

Laisse toi envahir, gamin. Tu le sais. Tout est ta faute. Tu les a laisser faire, tu ne t’es pas réveillé, tu a vécus plutôt que de l’aider.

Pourquoi t’a fait ça petit con ?

Pourquoi t’as fait ça abrutis ?

Je t’ais pardonner, tu le sais. Depuis longtemps car tu n’aurais rien put éviter… continue…

jt’en pris… promet le moi…

Vis, mon amour…
Toutes ces façons de voir qui se liaient dans son esprit pour n’en laisser qu’un bruissement sourd, indéchiffrable. Personne ne passait la porte de sa chambre, à présent. Les dents serrées, le jeune homme demeurait dans un coin de la chambre. Gorgée serrée et points liés. Même paupières closes, ses larmes continuaient de couler. Pourtant, il s’y était fait à cette idée, quelques mois plus tôt. La voir disparaître. Et pourtant, non, c’était beaucoup plus dur, loin de ce qu’il pouvait endurer. Le sang sur ses bras. Quelques mots répétés, haine, rage, peine, sang. Rédemption.

Et puis, un jour, un carreau fut brisé par une pierre portant un bout de papier. Presque délirant, le jeune homme n’y avait pas toucher. Et puis il avait lut, trois jours plus tard. Ses doigts marquant de sang le papier. De ses bras s’échappait tout sa vie.

Tu ne mérite pas de continuer.

Mais les mots inscrits là l’avaient comme réveillé. Une menace. Payer pour une certaine jeune femme. S’il ne le faisait pas, ce serait son entourage.

Le lendemain, Rika passait par la même fenêtre, profitant de cette brèche pour pouvoir lui parler enfin. Alors il avait tout balancer, tout dit, tout lâcher. Et elle avait lut le papier. Payer, ou fuir. Elle le suivrait. Ne voulait pas le quitter. Pas maintenant.

« Pas maintenant que je t’ai enfin trouver. »

Le lendemain, il embarquait dans le premier bateau qu’il trouvait au port le plus proche. Sans la jeune femme. Cette fois, les larmes ne coulaient plus. Le regard dur, il regardait juste le rivage s’éloigner et blottissait contre lui un petit garçon. Cela faisait six mois que la jeune femme le lui avait confier. Et il refusait de lui laisser. Une lettre traînait près du lit de celle qu’il aimait. Elle se réveillerais bientôt, il le savait. Voilà ou il en était. Embarquer par une succession d’événements qu’il ne comprenait pas. Cette fois ci, il n’y avait pas l’ombre d’une larme. Juste une immense tristesse, et une rage profonde.

Le jeune homme arriva alors en France. La langue, il l’appris en quelques mois. Le reste, il se débrouilla à peut près. Gardant ses anciennes habitudes, il continua la drogue, l’alcool, les femmes et les combats pour un rien. Juste pour se décharger. Pour faire le vide. Comme il le faisait avec Rika. Sauf que les coups qu’il se prenait cette fois, pouvaient être mortels, et chacun d’eux l’assommait presque. Mais tout ça, c’était juste une partie de la vie qu’il s’était créer. De l’autre, il y avait ce petit bout de chou et il engageait toujours quelqu’un pour le garder quand il allait faire le con. Toujours quelqu’un en qui il sentait qu’il pouvait faire confiance. Le garçon débarqua dons à Paris le jour de l’anniversaire présumé du petit. 2 ans et une entrée en enfer.

Ça se fête.

~-> Et Toi Donc? <-~

Prénom: Elise
Boy or Girl? Girl jusqu’ici
Nombre de Bougies: 17ans
Code Règlement: Code validé par Yuichi (hé hé xD)
Avatar choisi: Reita
Rp type... : Ben euh techniquement c’est plutôt pas mal XD à vous de juger mais normalement les lignes je les fait sans problème XDDD
Comment ce Lien a atterris sous votre clic ? Admin

Admin Messages : 69 Date d'inscription : 02/12/2008

Bordel c'est long! Bon pour le nombre de lignes, jte valide ok? Mais je lirai tout ça après manzer hein =3

Te voilà Validée! \o/

Messages : 135 Date d'inscription : 20/12/2008

Merci

moi ? écrire un roman ? naaaaaaaaaaaaan pas mon style XD

Oui, pis, même, t'as le droit de ne pas tout lire, jt'en voudrais pas XD

Messages : 42 Date d'inscription : 24/12/2008 Age : 38 Localisation : En chasse

Je sais pas comment tu fais pour écrire autant, ça m'impressione !

Messages : 135 Date d'inscription : 20/12/2008

Ben euuuh j'en sais rien moi, ça sort c'est tout XD comme une évidence ^^

merci ^^ c'est chouette si j'impressionne du monde